De la préparation à l’envol : tout sur notre voyage en Polynésie française

On savait qu’on partait fin septembre pour un mois, donc on a commencé à regarder les options à l’avance. Je me suis renseignée sur plein de blogs pour trouver des idées d’itinéraires. J’ai aussi exploré les itinéraires inter-îles proposés par Air Tahiti. J’ai sélectionné les îles qui nous intéressaient (en terme d’activités, paysages et envies) et qui rentraient dans un itinéraire faisable. Ensuite, j’ai estimé combien de jours passer sur chaque île et essayé de tout caler avec les vols Air Tahiti.

J’ai rapidement trouvé un itinéraire intéressant et faisable avec le pass inter-îles. Mais ce qui a été très compliqué c’est de faire matcher les dates avec le peu d’avion qu’on peut avoir sur certaines îles/Atoll… Pendant le voyage, quelqu’un qu’on a rencontré m’a dit avoir eu les mêmes galères et avoir contacté directement l’agence Air Tahiti pour réserver. Apparemment, c’est beaucoup plus simple : ils sont sympas et très aidants. Donc, je vous conseille cette option !

Une fois les vols inter-îles réservés, on a mis le projet en pause de février à mai 2024. Grosse erreur. En Polynésie, il faut tout réserver à l’avance (minimum un an - maximum huit mois) parce que les hébergements partent super vite.

Heureusement, nos vols internationaux étaient encore disponibles à la réservation à ce moment-là.

Sur Maupiti et Fakarava, on a eu énormément de chance : il restait un logement à chaque fois, que ce soit sur l’île principale ou dans le village. Mais pour avoir plus de choix, il faut vraiment s’y prendre tôt.

Dès qu’on a commencé les réservations, j’ai créé un fichier Excel avec tous les détails importants pour le voyage : logements, activités, transports, ce qui était déjà payé ou non, et combien d’argent retirer, etc…

Avoir du liquide sur soit est essentiel, surtout pour les Tuamotus, où les distributeurs ne marchent pas toujours (comme à Fakarava quand on y était).

Le seul truc qu’on n’avait pas prévu, c’était les repas (dîners et petits-déjeuners) sur certaines îles. Mais finalement, tout s’est bien passé, et c’était très bon.

En général, on peut facilement joindre les gens via WhatsApp, Facebook ou mail.

Et, à la fin, on s’est quand même dit qu’on allait faire l’ESTA. Heureusement, elle a été très vite acceptée mais si ça n’avait pas été le cas, on aurait pu dire adieu à notre voyage. Donc je vous conseille vivement de la faire dès le début et si vous n’avez pas de retour rapidement -> les contacter car normalement dans les 72h ils sont sensés l’avoir validé !

Pour être honnête, notre organisation était un peu décousue. Avec mes études, mes examens, ma soutenance, ma recherche de boulot, l’organisation du mariage et Gui en déplacement pro pendant plus d’un mois, il fallait trouver du temps. Mais on y est arrivés !

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